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ISLANDE du 11 au 25 juin 2016
Voyage du 11 au 25 juin 2016
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 23 juin : (suite)

Notre guide avait 14 ans à l’époque, il a donc vécu l’éruption en direct et nombreuses sont ses anecdotes (par exemple, l’école dont les vitres reflétaient l’éruption, alors qu’il allait avoir un contrôle et qu'il n'avait pas révisé ou le coup pour revoir pour revoir sa maison après l'éruption). Il est tellement intarissable sur le sujet que nous nous demandons même s’il a bien vécu tout ça. Le tour passe ensuite au dessus des coulées de lave de l’éruption (les panneaux en bois plantés dans les scories, servent à repérer les maisons de l’époque), puis, près de l’église en bois offerte par la Norvège à la ville après l’éruption (pas certain que cela ait beaucoup aidé) et se finit près du musée Eldheimar où une maison a été excavée des scories, comme à Pompéi (visite très intéressante d’après le guide mais que nous ne faisons pas).

Par contre, nous profitons du fait que certains passagers descendent devant ce musée (sinon, le bus retourne en centre ville) pour nous arrêter là, nous aussi. Christophe aurait bien aimé escalader le cratère du volcan Eldfell mais vu la brume présente aujourd’hui, il se range à l’avis d’Anne-Marie qui n'est pas spécialement emballée par les 200 m (même pas) de grimpette. Nous passons alors un peu de hors piste derrière le musée, pour rejoindre la coulée de lave, afin d'y faire quelques photos et nous retournons près de l’église norvégienne pour la même raison. Nous faisons ensuite un petit tour dans la ville mais il n’y a pas grand-chose à voir (à part les panneaux indicateurs). Comme nous avons encore du temps avant de reprendre le ferry, nous en profitons pour faire quelques courses au supermarché Bónus de l’île (il nous manquait un litre de lait et une bouteille d’eau pour finir le séjour) avant d’aller attendre sur le port le départ du ferry.

Après 35 minutes de traversée, nous arrivons à 19 heures à Landeyjahöfn et nous mettons aussitôt le cap sur le camping de Hveragerði où nous prévoyons de faire, demain, une randonnée avec un petit bain dans un ruisseau de montagne... En attendant, ce soir, c’est la dernière fois que nous nous préparons à manger dans le camping-car car demain, pour notre tout dernier dîner en Islande, nous allons essayer de manger des mets islandais, en tous cas, bien plus islandais que les pâtes au saumon que nous nous préparons ce soir !

couvert

Météo de la journée :
"Overcast" comme dirait le site de prévisions météo islandais, c’est à dire "super couvert". Le brouillard masquait complètement le haut des chutes de Seljalandsfoss quand nous avons quitté le camping. En fin d’après-midi, on pouvait voir les Vestmannaeyjar depuis le port de Landeyjahöfn mais le matin, elles étaient complètement cachées par la brume. Durant la journée, nous avons pu profiter d’une micro-éclaircie et d’une nano-éclaircie. Heureusement, il n'a pas plu et il n'y avait pas un brin de vent dans la ville la plus venteuse d'Islande (cela arrive seulement 3 jours par an). A 8 heures du soir, à Selfoss, grand soleil ! On distinguait l'éclaircie, au loin, depuis le ferry...

Vendredi 24 juin : Beautiful valley...

Nous galérons un peu pour trouver le départ de la randonnée vers la vallée de Reykjadalur. Il faut dire que notre topoguide indique qu'il faut "passer devant le terrain de foot et continuer à gauche jusqu'au parking où le chemin carrossable débouche sur un gué". Nous bifurquons donc, juste après le terrain de foot de Hveragerði, sur un chemin empierré mais il nous mène dans une impasse. Il fallait continuer tout droit, après le terrain de foot, sur la route goudronnée qui oblique ensuite légèrement sur la gauche et qui débouche sur un petit parking, juste avant un gué. Il n'y a qu'une petite dizaine de voitures stationnées : le site ne semble pas être trop touristique !

La randonnée commence par passer au dessus de deux gros troncs qui permettent de franchir la rivière au sec. Puis, elle longe des fumerolles et une mare de boue en ébullition, avant de continuer à grimper, lentement mais sûrement. Le paysage se cache alors dans le brouillard mais nous continuons vaillamment de monter, même si nous nous demandons si ça vaut le coup. Après une bonne heure de montée, nous finissons par arriver dans la vallée promise. De gros fumerolles s'élèvent aux abords du sentier (même si nous avons un peu de mal à les distinguer dans le brouillard) et au ras du sentier, une mare de boue en ébullition projette même des gouttes (d'acide sulfurique ?) sur le chemin.

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"Vestmannaeyjar & Reykjavík (3 / 8)"
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