-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
ISLANDE du 11 au 25 juin 2016
Voyage du 11 au 25 juin 2016
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 25 juin : (suite)

Christophe essaie alors au hasard, l’un des boutons du panneau de commande en islandais, la pression arrive. Il essaie un autre bouton, la pression disparaît... Finalement, il revient au premier bouton, même si de la mousse se forme en sortie de jet. Tant pis, il n’y aura pas de rinçage (nous passons quand-même un coup d’essuie-tout sur les vitres pour y voir quelque chose au travers ; puis la bruine a commencé à tomber, elle a rincé le camping-car). Quant aux moustiques incrustés dans le capot, nous ne sommes pas arrivés à les avoir (mais le loueur avait l’habitude, donc aucune problème ; il fallait juste laver le camping-car suffisamment pour vérifier d’éventuelles rayures sur la carrosserie).

Après avoir refait le plein de diesel, nous arrivons devant les locaux de "Camp Easy" à 9 heures un quart. Malheureusement, les deux employés s'occupent de livrer des camping-cars à des clients, ce qui prend du temps, beaucoup de temps, pour tout leur expliquer... Ce n'est que quelques minutes avant 10 heures qu'un des employés s'occupe enfin de nous. A 10h05, après un rapide tour du fourgon et la vérification du plein de carburant, le check-out est terminé. Le loueur prend ensuite tout son temps pour ranger ses dossiers, alors que nous avons besoin qu'il nous ramène au terminal de bus où nous espérons partir avec la navette de 10h30 pour l'aéroport (sinon la prochaine part une heure plus tard et nous serions un peu limite, en temps, pour l'enregistrement du vol pour Francfort). Enfin, nous finissons par embarquer dans un gros monospace avec un autre couple de français qui était arrivé quelques minutes après nous. Nous arrivons à 10h28 au terminal de bus où nous quittons le loueur et le couple de français dans la précipitation, mais nous n'avions pas trop le choix. Par chance, le bus est encore là et nous sommes dans les derniers à embarquer. Il est pratiquement rempli (un paramètre que nous avions un peu négligé) mais nous trouvons de la place sur la dernière rangée tout au fond.

Après 45 minutes de bus, nous arrivons à l'aéroport de Keflavík. Nous passons au comptoir de la douane islandaise pour déposer notre demande de remboursement des taxes (le remboursement se fait sur la carte bancaire ayant servi aux achats). L'employée demande alors à voir les vêtements. Nous avions fait attention de les laisser sur le haut d'un de nos sacs que nous n'avions pas encore verrouillés pour le vol.

Nous déposons ensuite nos bagages au comptoir d'enregistrement d'"Iceland Air" (ouf, ils sont plus légers sur la balance du comptoir que lors de la pesée réalisée ce matin) et nous passons les contrôles de sécurité les doigts dans le nez (c'est à dire, sans avoir à déballer tout le contenu de nos bagages cabine). Il faut ensuite traverser la zone de magasins "Duty Free" pour rejoindre les portes d'embarquement. À la sortie de la zone des "Duty Free", se trouvent plusieurs restaurants. Nous en profitons pour manger un dernier skyr aux myrtilles (et accessoirement, des nuggets de poulet et des frites, froides). Il nous reste alors moins, de 5.000 kr, juste de quoi permettre à Anne-Marie de s'acheter un T-shirt souvenir (et un porte-clefs à Christophe).

Nous rejoignons ensuite la porte d'embarquement de notre vol à destination de Francfort. Des rangées de sièges sont équipées de prises électriques pour permettre de recharger les téléphones ou les tablettes tactiles. Anne-Marie en profite car son téléphone n'a presque plus de charge. La Wifi est gratuite et la bande passante est suffisamment importante pour surfer confortablement (l'aéroport de Keflavík est vraiment au top). Cela nous permet d'attendre notre vol qui est, Lufthansa oblige, en retard (en raison d’une arrivée tardive de l’appareil ;-)). L'avion n'arrive que 5 minutes avant l'heure prévue de notre décollage... En plus, le pilote ne se stationne pas au bon endroit devant le satellite de l'aérogare et il doit faire appel à un tracteur pour repousser l'appareil, ce qui engendre un retard supplémentaire.

Nous décollons donc avec une heure de retard que le pilote n'arrive pas à récupérer pendant le vol. Pire, quand nous atterrissons à Francfort, les retards continuent de s'accumuler. Déjà, nous n'étions plus attendus ! Le pilote se gare donc tout au fond de l'aéroport de Francfort et quand nous rejoignons enfin la place de stationnement, il nous faut encore attendre longtemps que la passerelle soit mise en place et que les bus arrivent (la réputation de l'organisation allemande en prend un sacré coup dans l'aile ; ils ne savent pas gérer les imprévus). Quand nous embarquons enfin dans les bus, ceux-ci nous font alors faire le grand tour des sous-sols de l'aérogare. Nous voyons défiler une à une toutes les portes du hall A (y compris le A-17, la porte pour notre vol à destination de Toulouse) et le bus continue toujours d'avancer... Heureusement, il finit par s'arrêter et commence alors la retraversée, à pied, de l'immense aérogare, avec le long tapis roulant en panne dans le long passage sous-terrain.

Page n° 46 sur 49 :

"Vestmannaeyjar & Reykjavík (7 / 8)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.