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PEROU du 29 août au 19 septembre 2017
Voyage du 29 août au 19 septembre 2017
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 31 août : "E.T. phones home !"

Nous nous sommes réveillés très tôt pour petit-déjeuner à 6 heures du matin, dès l’ouverture du buffet de l’hôtel, histoire d’avoir bien commencé à digérer avant le moment fatidique (ce matin, nous allons survoler les lignes de Nasca et tous les guides conseillent de ne pas trop manger avant ce vol) !

Cela nous laisse donc tout le temps de remplir par internet, le dossier d’inscription pour l’excursion de dimanche prochain à Arequipa et de payer un acompte par Paypal (alors que nous n’avions pas de compte Paypal car ça nous ennuie de laisser nos numéros de carte bancaire sur différents serveurs informatiques à travers la planète, surtout pour des sites que nous utilisons une fois tous les 36 du mois ; d’ailleurs pour éviter que Paypal ne le conserve trop longtemps, nous enregistrons le numéro de la carte de Christophe qui se finit fin septembre, ainsi, dans un mois, Paypal, ou de potentiels hackers de ce site, ne pourront plus utiliser cette carte ;-)).

A 8 heures du matin, le guide arrive et une vingtaine de minutes plus tard, nous sommes à l’aérodrome de Nasca. Le temps de payer la taxe aérienne, d’être pesé avec les appareils photo (heureusement, nous sommes passés en mode "léger", sans gros téléobjectif ;-)), de passer un pseudo-contrôle de sécurité (la gourde en métal d’Anne-Marie ne passe pas, elle doit rester au contrôle le temps du vol) et d’attendre un peu, nous embarquons dans un Cessna 207 de 8 places (6 passagers et 2 pilotes) à aile haute (les ailes ne gênent donc pas pour l’observation). Les sièges sont disposés, deux par deux, côte à côte : personne ne se retrouve donc coincé au milieu, entre deux autres personnes et chacun a une vitre, suffisamment grande, et bien propre. Toutes les conditions sont réunies pour un moment exceptionnel !

Après un briefing sur le déroulement du vol, c’est le décollage et quelques dizaines de secondes plus tard, c’est le premier virage serré sur la gauche. Il nous faut alors repérer la figure de la baleine qui est normalement sous nos yeux (et vu comment l’avion est penché, on voit vraiment bien le sol en dessous de l’appareil) mais nous avons du mal à la trouver car nous ne savons pas quelle taille à cette figure. A peine avons nous le temps de la voir que le pilote bascule déjà promptement l’avion dans un virage serré sur la droite, pour permettre aux passagers assis à droite d’observer la baleine (et ça sera ainsi pour chaque figure, un virage d’un côté puis de l’autre). Nos estomacs, surtout celui de Christophe, n’apprécient pas trop cette cabriole. Il faut alors quelques instants pour reprendre ses esprits.

Heureusement, entre certaines figures, un petit moment en vol en ligne droite permet de reprendre plus vite ses esprits car à cette heure matinale, l’air est stable, il n’y a aucune perturbation atmosphérique, si bien que l’on n’est pas secoué lors de ces brefs moments de répit. En plus, pour ne pas arranger les choses, l’autofocus de l’appareil photo est à la ramasse. Bien que les figures soient grandes, en volant à 2.000 et quelques pieds, les lignes ne sont pas assez épaisses pour permettre à l’autofocus de faire la mise au point, d’autant plus que le contraste n’est pas très fort. Il faut donc changer les réglages, ballotté dans les virages, trouver les figures, les cadrer, sans être masqué par le pylône des ailes... Bref, ce n’est vraiment pas une partie de plaisir !

Les 30 minutes sont donc passées extrêmement vites ! Après la baleine que nous avons eue du mal à repérer, il y a eu l’astronaute, dessiné à flanc de colline, là où on ne le cherchait pas. Par contre, les grandes lignes suivantes ont été simples à trouver : elles semblent traverser le désert sur des kilomètres et elles semblent bien larges, mais nous avons quand même du mal à nous rendre compte de la grandeur de ces géoglyphes ! Heureusement, le chien, l’araignée, le perroquet, le singe, le condor et le colibri sont bien plus simples à repérer car ce sont des figures complexes, toutes dessinées d’une seule et unique ligne continue (enfin, une par figure) ! Quant au lézard, à l’arbre ou l’étrange grenouille (cette figure possède deux mains, l’une à 4 doigts et l’une à 5 doigts, tout comme l’allemande qui a découvert ces lignes, à qui il manquait un doigt ; mais, ce n’est qu’une pure coïncidence, les extra-terrestres n’ont rien à voir là-dedans, E.T. ne s’est pas coincé le doigt dans le cadran du téléphone), ces géoglyphes sont situés au bord de la panaméricaine, près d’un grand mirador en métal, où il serait intéressant de se rendre !

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"Lima - Nasca (5 / 10)"
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