Restauration : (suite)
Les spaghettis Alfredo aux crevettes de chez "Julian's"
➔ Le restaurant "Mona Lisa" : situé au centre de Kralendijk, nous y avons mangé du poisson (sashimi de thon en entrée, carpaccio de thazard fumé, pavé de thon, etc...) : c’était excellent, très copieux, d’un bon rapport qualité / prix (surtout parce que le poisson était vraiment très bon). A noter que le barman du restaurant prépare une très bonne "piña colada", très bien dosée entre le lait de noix de coco, le jus d’ananas et le rhum.
➔ Le restaurant Patagonia : situé en bord de mer, proche du quai sud pour les bateaux de croisière, ce restaurant pseudo-argentin (au moins, la carte des vins comporte du Malbec) propose à la carte des très bonnes pièces de bœuf, bien épaisses, ou des petites côtes d’agneau à la cuisson parfaitement maîtrisée. D’accord, il y a d’autres plats à la carte mais dans un restaurant argentin, on y va pour la viande, pas pour manger une salade Caesar, ni des pâtes italiennes.
➔ Le restaurant "It Rains Fishes" : restaurant un peu branché situé en bord de mer, à une centaine de mètres au nord du restaurant "Julian’s". La salle toute ouverte, équipée de brasseurs d’air (idéal pour ne pas avoir trop chaud et éviter la climatisation), est donc très agréable. Spécialités de poisson au menu : c’était très bon mais nous avons tout de même préféré le "Mona Lisa" (déjà, rien que pour la "piña colada" ).
➔ Le "Rumba Cafe" : situé à côté du restaurant "Julian’s", ce snack propose presque les mêmes plats que chez "Julian’s" dans les mêmes prix (mais les spaghettis Alfredo aux crevettes sont bien meilleurs chez "Julian’s", et moins chers). Bon substitut si "Julian’s" est fermé (leurs pizzas, sur place ou à emporter, ont tout de même l’air d’être pas mal mais nous ne les avons pas goûtées).
Au fait, n’oublions pas "GIO's Gelateria & Caffé" à Kralendijk, un glacier proposant de bonnes glaces.
Plongée :
➔ Règle n° 1 : pour profiter pleinement de Bonaire, il faut être plongeur autonome (pour pouvoir plonger du bord, sans guide de palanquée) et voyager avec sa palanquée (sinon, ça devient galère pour trouver une palanquée pour plonger du bord).
➔ Règle n° 2 : il faut avoir un détendeur type "étrier" et tout sur le premier étage (robinetterie une seule sortie sans opercule, montée sur des blocs aluminium). Pour les plongeurs en DIN (comme nous), il faut donc avoir un adaptateur "étrier" (ça ne coûte presque rien).
➔ Règle n° 3 : il faut avoir des palmes réglables avec des bottillons possédant une semelle épaisse (voire très épaisse). Les mises à l’eau à partir du bord demandent de marcher sur les rochers ou les plages de corail mort, avec le bloc sur le dos et les plombs : mission impossible pied nu !
➔ Règle n° 4 : pour partir du bord, sans laisser d’objet de valeur dans la voiture, il faut donc avoir un petit étui étanche, que l’on glissera dans une poche de la stab, pour ranger au sec la clef de la voiture, celles de l’appartement et un peu d’argent (au cas où). Quant au téléphone, nous l’avons laissé à l’appartement mais ça pourrait être utile d’avoir aussi un étui étanche (pour appeler les secours au cas où).
➔ Règle n° 5 : il faut acheter (25 $US, mais il va bientôt passer à 45 $US) le pass Stinapa, l’organisme qui assure la protection de la réserve marine, et bien penser à accrocher le badge en plastique à son équipement de plongée (les agents de la Stinapa font normalement des tournées d’inspection). Ce pass permet aussi d’accéder gratuitement au parc national de Washington-Slagbaai au nord de l’île.
➔ Règle n° 6 : avoir la certification Nitrox (simple). Il n’y a pas besoin de plonger profond, la faune se concentre surtout dans la zone de 10 m – 25 m, voire 30 m, mais le Nitrox apporte plus de sécurité, surtout en laissant son ordinateur gérer les paliers de décompression sur le mode air (ne pas oublier qu’on plonge du bord, sans matériel de secours comme une bouteille d’oxygène : augmenter les marges de sécurité nous semble nécessaire...) !