-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
TANZANIE du 2 au 17 novembre 2019
Voyage du 2 au 17 novembre 2019
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 2 novembre : (suite)

Nous sommes donc un peu secoués au décollage mais le vol se déroule ensuite sans problème, entre les "pasta or chicken" du repas, les multiples films du système de divertissement performant (la prise pour le casque audio est juste mal placée ;-)) et la mini-pizza (un truc à la tomate avec de la pâte et du fromage) accompagnée d’un mini-truc à la compote de pomme en guise de goûter. Nous atterrissons à 21h10 (heure locale) à l’aéroport de Kilimandjaro, situé au pied du célèbre volcan qui est dans le noir le plus complet, avec une quarantaine de minutes de retard par rapport à l’heure prévue (mais ce n’est pas bien grave).

Le contrôle des visas est ensuite très long et assez bordélique, bien que plusieurs policiers soient en poste. Et encore, nous avons la chance d’avoir acheté les e-visas avant le départ, car pour ceux qui ne l’ont pas, il leur faut faire deux fois la file d’attente : une fois aux guichets pour acheter le visa, et une fois au contrôle des visas. La fiche à remplir manuellement que nous avions reçue avec le e-visa (qui ressemblait à deux gouttes d’eau, à celle qui a été distribuée dans l’avion et que nous n'avons pas remplie) est mise sur un tas par le policier en charge du contrôle des visas, sans même la lire... No comment !

Comme nous avons attendu un long moment au contrôle des visas, nos sacs ont été livrés depuis longtemps et ils ont été déposés à côté des tapis de livraison. Il ne reste plus qu’à passer tous nos bagages aux rayons-X pour le contrôle de douane (une simple formalité, ce n’est pas avec cette machine qu’ils peuvent vérifier si les voyageurs entrent avec des sacs en plastique dans le pays), avant d’arriver à la sortie de l’aérogare où une myriade de chauffeurs attendent avec des pancartes. Nous faisons attention de ne pas nous tromper car notre nom à consonance flamande pourrait bien être en doublon (ou presque) sur ces pancartes. Heureusement, sur la pancarte de notre chauffeur, notre nom est bien orthographié et accompagné de la mention "Vie Sauvage". Quand nous arrivons au 4x4 (8 places, nous n’allons justement pas en manquer), un autre employé de "Leopard tours" nous rejoint et celui-ci vérifie que nous sommes bien les bons clients.

Nous partons alors à 4 pour une heure de route (soit une cinquantaine de kilomètres), vers le premier hôtel du séjour aux abords de la ville d’Arusha, le "Moivaro Coffee Plantation Lodge". Nous empruntons donc la route A23 qui fait partie du grand axe qui traverse l’Afrique, du Caire au Cap, où le trafic est important, même à cette heure tardive.

Les lignes blanches ne semblent être qu’une curieuse décoration routière et un accident (un camion qui semble avoir percuté une voiture) rend la circulation encore plus chaotique... Cela ne nous rend pas très serin pour les prochaines jours (mais c’était juste une mauvaise "première impression" car la circulation en Tanzanie n’est pas aussi catastrophique qu’il n’y paraissait lors de ces premiers kilomètres). Un peu avant Arusha, notre chauffeur bifurque sur la gauche pour emprunter sur un kilomètre, un mauvais chemin de terre qui mène à l’hôtel. Après avoir récupéré les clefs de notre chambre, le second employé de "Leopard tours" nous fait un rapide briefing sur le séjour, avec les règles à respecter dans les parcs. Il nous remet aussi les billets d’avion pour le vol Arusha - Zanzibar et nous vérifions ensemble la liste des hôtels et camps du séjour.

Après être passés par la chambre (équipée d’un très grand lit dont nous allons à peine en profiter), nous retournons au restaurant pour dîner. Nous ne savons pas trop si ce repas est inclus, ou non, dans le séjour mais nous n’avons pas trop le choix : il n’y a qu’un menu à 25 $US (mais nous n’avons eu à payer que les deux Coca-Cola que nous avons pris). Après une salade mangue-avocat, une soupe, très bonne, bien que nous n’arrivions pas à identifier les ingrédients la composant, nous optons pour le steak de bœuf (trop cuit) avec de la purée. En dessert, Anne-Marie choisit le flan au chocolat et Christophe, le strudel à la banane. Avant de nous endormir, à minuit passé, nous mettons en charge nos appareils électroniques (dans les prochains hôtels, nous ne savons pas si nous aurons du courant toute la nuit) et nous préparons des habits pour passer en mode "chaud". Demain matin, le réveil va sonner à 5h45, pour un départ à 6h30 !

Dimanche 3 novembre : A chat perché !

Nous nous levons difficilement à 6 heures du matin. La nuit a été courte, tout comme la nuit précédente, le voyage débute durement... Le buffet du petit-déjeuner est déjà ouvert (alors que, normalement, il n’ouvre qu’à 7 heures du matin) : gâteaux et fruits dont de l’ananas et des petites bananes, un régal... Un cuisinier se tient à disposition pour préparer des omettes à la demande, c’est parfait ! Nous déjeunons sur la terrasse en extérieur, devant le mont Meru (que nous prenons un temps pour un des sommets du Kilimandjaro mais nous avions tout faux).

Page n° 13 sur 47 :

"Manyara & Ngorongoro (2 / 8)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.