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TANZANIE du 2 au 17 novembre 2019
Voyage du 2 au 17 novembre 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Magnifiques lionceaux !

Mardi 5 novembre : Simba !

Après un bon petit-déjeuner (crêpes, beignet, fruits) et un passage par la boutique pour Anne-Marie, nous quittons le lodge à 7 heures du matin. Nous sommes dans les nuages, le magnifique lever de soleil tant espéré sur le cratère du Ngorongoro n'a pas eu lieu car le brouillard ne nous permet pas de voir à plus de 10 mètres devant la voiture. En repassant devant le point de vue sur le cratère (celui d'hier matin), nous ne nous arrêtons donc même pas, bien que nous nous arrêtions parfois pour prendre en photo des buffles qui sortent de la forêt (ces gros bovins sont donc de bons grimpeurs, car les falaises du cratère sont tout de même assez abruptes). En repassant devant la bifurcation avec la piste descendant dans le cratère, nous avons un petit coup de blues, vite dissipé car nous sommes alors sortis des nuages et des girafes gambadent à côté de la piste (un peu en contre-jour).

Le paysage change ensuite rapidement car nous quittons les collines verdoyantes entourant le cratère du Ngorongoro pour passer dans les plaines desséchées du Serengeti (même si nous n’avons pas encore passé les portes de ce parc national). Le changement de végétation entre l’est et l’ouest du Ngorongoro est assez saisissant. Entre les grands arbres de la vallée du rift, et ces plaines arides, nous avons changé de planète.

La faune aussi, n’est plus la même. Dans cette partie, nous ne croisons plus que des troupeaux de gazelles de Grant ou de Thomson avec quelques aigles serpentaires ou ravisseurs. Nous ne tardons cependant pas à passer les limites du parc national du Serengeti (à 9h20), qui est matérialisé par une simple arche, sans poste de garde. Celui-ci se trouve à "Naabi Hill" que nous atteignons une heure plus tard (resterait donc à savoir si les 24 heures couraient jusqu’à la limite de l’aire de conservation du Ngorongoro ou ce poste de garde ?). Pendant que Khalid s’occupe des formalités et de payer les entrées, nous allons nous promener au sommet de la colline, afin de jouir du panorama de plaines à l’infini (d’où le nom du Serengeti) et de photographier des agames des colons qui prennent le soleil sur la pierre dénudée.

Après le poste de garde, nous recroisons à nouveau des troupeaux de gazelles de Grant ou de Thomson, et des vautours perchés dans les maigres arbustes des alentours, avant que, sans nous en rendre vraiment compte, l’herbe commence à changer de teinte. Tout d’abord, ce passage au vert a commencé autour des points d’eau, puis presque brusquement, nous nous sommes retrouvés dans des grandes plaines à l’herbe toute verte, parcourus par d’immenses troupeaux de gnous et de zèbres sillonnant les plaines en file indienne, comme de longs fleuves (tranquilles). Lors de leur passage, les hyènes séparent les flots, créant ainsi quelques méandres dans ces fleuves de bovidés et d’équidés. Puis, soudain, à l’ombre d’un arbre bas au bord d’une rivière où barbotte un hippopotame, une lionne, munie d’un collier émetteur et la gueule couverte de mouches, se repose. Son collier semble un peu serré mais Anne-Marie ne veut pas descendre du 4x4 pour aller lui desserrer, pour ne pas la déranger dans sa sieste. Après cette lionne, Khalid prend trois virages de suite, afin de traverser la rivière (avec un bref arrêt pour photographier des hyènes) et nous voilà arrivés devant un autre arbre bas où deux jeunes lions se reposent. L’un est assez jeune, sa crinière n’est pas très importante mais l’autre a déjà une belle crinière. Nous étions seuls lors de notre arrivée sur ces lions, mais quelques minutes plus tard, 3 ou 4 voitures de safari nous ont rejoint, faisant partir le lion à la belle crinière. Nous nous apercevons alors que derrière nous, une petite dizaine de zèbres bien alignés, regardent fixement dans notre direction ! Visiblement, les lions les intriguent.

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"Serengeti (1 / 14)"
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