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TANZANIE du 2 au 17 novembre 2019
Voyage du 2 au 17 novembre 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Samedi 9 novembre : (suite)

Nous arrivons ensuite près d’un immense troupeau de gnous et de zèbres qui avance à travers la plaine remplie, semble-t-il, de milliers d’animaux (dans les environs de l’aérodrome dont on distingue le bâtiment vers l’est). Nous nous demandons alors pourquoi tant de véhicules de safari sont rassemblés dans le coin : est-ce juste pour les gnous ? Et non, c’est pour une lionne couchée sous un arbuste, près de la piste et à moins de 30 mètres des gnous qu’elle regarde avec une certaine envie ! Le problème est que l’envie n’est pas très pressante, bien que ces lionceaux s’impatientent. En effet, de l’autre côté de la piste, dans un buisson, nous voyons régulièrement apparaître des têtes de lions à travers le feuillage, jusqu’à trois différentes, et il y a fort à parier que ce sont les jeunes (des grands adolescents) de la lionne qui regardent où est leur mère. Dans la catégorie cocasse, un dik-dik évolue aussi dans les parages, caché dans un buisson à côté de la lionne et cette petite antilope semble bien troublée.

Après 40 minutes d’attente, la lionne se lève, s’assis même pour regarder quelques instants les gnous, avant de passer de l’autre côté du buisson et se recoucher à nouveau. Khalid avance donc pour nous permettre d’avoir un meilleur angle de vue sur le fauve. Le dik-dik tente alors une sortie mais il ne sait pas trop quoi faire. Il doit encore sentir la lionne mais il ne sait plus où elle est. Il traverse alors la piste entre les véhicules de safari et se dirige tout droit vers le buisson où nous avons vu les jeunes lions. Ça doit être un dik-dik suicidaire ! Nous avons vraiment l’impression que la lionne est en position de chasse car elle vient de s'asseoir pour regarder les gnous. Elle se lève même et traverse la piste nonchalamment pour retrouver sa progéniture... Cela fait donc, à quelques minutes près, une heure d’attente, pour pas grand-chose ! C’est aussi ça, un safari...

Un peu plus loin, Khalid nous montre trois crocodiles du Nil dans la rivière (dont un petit) avant de croiser, quelques minutes plus tard, un varan du Nil au bord de la piste. Khalid repasse ensuite le turbo. La raison de cette conduite rapide est un guépard, couché dans l’ombre d’un grand arbre, mais celui-ci est bien trop loin de la piste. Nous ne restons donc pas pour l’observer. En revanche, les hyènes que nous croisons ensuite sont assez près, juste dans une mare de boue au bord de la piste. Dans la catégorie prédateur, nous nous arrêtons aussi pour observer un aigle ravisseur en train de faire un festin d'une outarde, lui aussi tout au bord de la piste. Les derniers morceaux de chair sont arrachés avec force de la carcasse de l’outarde où il ne reste plus que les os et les plumes au bout des ailes (et la tête...).

Khalid s’arrête ensuite sur les rives du lac Magadi (un lac salé) où il croit voir, au loin, un rhinocéros... Mais il ne s’agit que d’un hippopotame qui galope sur la terre ferme. Quelques minutes plus tard, nous arrivons alors dans une zone de gros rochers, les "Moru Kopjes", où Khalid cherche des lions perchés dans les rochers, en vain. Seul un aigle serpentaire nous permet de faire quelques photos intéressantes. Malheureusement, il est maintenant temps de faire demi-tour (nous sommes alors à 54 km, à vol d’oiseau, au sud du "Kubu Kubu Tented Camp"). Cependant, ce n’est pas parce que nous faisons demi-tour que le safari se termine, loin de là, car nous croisons des cobes Defassa au moment même où des girafes traversent la piste. Nous ne savons plus où donner de la tête (ou du déclencheur). Puis, 10 minutes après avoir photographiés des phacochères près d’une marre de boue (pour une fois que ces engins radioguidés que sont les phacochères, ne s’enfuient pas à notre arrivée), Khalid se stationne près d’un arbre. Un léopard est couché sur une haute branche. Il est plus près que le léopard d’avant-hier mais c’est tout de même limite pour les photos.

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"Serengeti (11 / 14)"
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