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TANZANIE du 2 au 17 novembre 2019
Voyage du 2 au 17 novembre 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 10 novembre : "Kwaheri Serengeti !"

A 7 heures et demie, après avoir pris le petit-déjeuner et préparé les "lunch box" (au fait, attention avec les agrafes que l’on peut mettre pour fermer le sac en papier, car celles-ci peuvent voler et se retrouver par mégarde dans le sandwich : cette mésaventure est arrivée à Christophe qui s’en est heureusement aperçu à temps), nous quittons le camp pour un mini safari avant de sortir (à grand regret) du Serengeti. Khalid commence alors à suivre sur une piste, avant de faire subitement demi-tour et de mettre le turbo. En croisant un autre véhicule de safari, le chauffeur de ce véhicule se lisse la barbichette qu’il n’a pas... Non, il n’est pas fou, car c’est le signe entre chauffeurs pour signaler un lion (qui possède bien une barbe). Nous apercevons donc 10 secondes plus tard, les félins qui sont la cause de ce signe : un lion d’un côté de la piste et une lionne, de l’autre côté. Tous les deux avancent dans la même direction, parallèlement à la piste, vers un grand troupeau de gnous qui semblent inquiets. Nous ne pensons pas que les lions vont se mettre à chasser car ceux-ci avancent sans se cacher, bien en vue. Peu après, le lion et la lionne se rejoignent et s’éloignent alors de la piste. Khalid se positionne donc à un endroit où devraient passer les lions, derrière un troupeau de gnous. Puis, d’un coup, nous voyons la lionne se mettre à courir, déclenchant la panique dans le troupeau de gnous qui détalent à toute vitesse, soulevant un énorme nuage de poussière nous masquant les fauves. Quand la poussière se repose, nous apercevons de nouveau la lionne et le lion bredouilles ! La chasse a été infructueuse, mais au mois, il y a eu une tentative.

Comme nous n’avons plus trop de temps, nous abandonnons ces deux chasseurs et nous prenons la direction de la station essence... Mais, quelques secondes plus tard, Khalid fait de nouveau subitement demi-tour et rejoint un arbre où une lionne est perchée sur une branche. A priori, ce n’est pas la lionne qui chassait avec le lion, bien qu’ils doivent être dans les parages (pour information, cette lionne est située sur la route que nous empruntions pour rejoindre le "Serengeti Kati Kati Tented Camp"). Nous ne restons malheureusement pas très longtemps à l’observer car il nous faut vraiment aller faire le plein de carburant et ressortir du Serengeti. Mais nous prenons tout de même le temps pour photographier un troupeau d’éléphants, avec un tout petit, qui broutent près de la station essence, avant et après avoir fait le plein. Khalid nous montre ensuite un hippopotame (dont on ne voit que le dos sortir de l’eau et comme le ciel est un peu gris, nous ne le photographions pas), un marabout, des phacochères, des impalas, des girafes... Mais le cœur n’y est plus !

Un peu après 9 heures et demie, Khalid remet le turbo pour ressortir du parc avant 10 heures et demie, mais 20 minutes plus tard, il est obligé de s’arrêter à nouveau car deux guépards, une mère et son petit, sont perchés sur une termitière, pour surveiller les environs. Et cette termitière n’est qu’à 20 mètres de la piste. Nous ne pouvions pas rater cette photo, même si nous ne nous arrêtons que 5 minutes ! Heureusement, nous ne sommes plus très loin de "Naabi Hill", nous ne croisons plus que des troupeaux de gazelles de Thomson et nous sommes finalement à l’heure au poste de garde. Pendant que Khalid s’occupe des formalités administratives, Anne-Marie en profite pour s'acheter un T-shirt (et un badge brodé pour Christophe) à la boutique de souvenirs du poste de garde.

De retour près de la grande arche symbolisant la frontière entre le parc du Serengeti et l’aire de conservation du Ngorongoro, Khalid bifurque sur la droite, pour emprunter une mauvaise piste (il ne reste d’ailleurs pas longtemps sur cette piste pour rouler à côté, là où passent tous les véhicules, pour diminuer l’intensité du massage tanzanien). Nous nous rendons à Ndutu pour un rapide safari dans cette partie spécifique de l’aire de conservation du Ngorongoro, située autour des lacs Ndutu (à sec) et Masek. C’est une grande forêt d’acacias, toute sèche à cette époque de l’année. L’intérêt est donc limité (ça doit être très intéressant entre janvier et mars, quand les troupeaux de gnous viennent mettre bas dans les environs) car, hormis des phacochères, plein de dik-diks, des flamants roses sur le lac Masek et un petit troupeau d’impalas venus boire sur les rives blanches de sel du lac, nous n’observons pas beaucoup d’autres espèces. En fin de safari, Khalid se stationne à l’aérodrome pour profiter de la salle d’embarquement pour pique-niquer.

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"Serengeti (13 / 14)"
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