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TANZANIE du 2 au 17 novembre 2019
Voyage du 2 au 17 novembre 2019
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Dimanche 10 novembre : (suite)

Nous repartons ensuite pour une bonne séance de massage tanzanien sur les pistes en tôle ondulée et poussiéreuses. Cela nous donne l’occasion de revoir quelques buffles et girafes, et de passer (sans nous arrêter) devant un Masaïland, un faux village masaï (car c’est trop beau pour être vrai, au sens littéral du terme) devant lequel est garée une dizaine de véhicules de safari, tous de la même compagnie. Il y a plus de touristes que de Masaïs dans ce village ! Nous arrivons ensuite au point de vue sur le cratère où nous nous arrêtons quelques minutes. Nous avons alors l’impression que le cratère est plus vert qu’à l’aller. Certes, il vient de pleuvoir, le contraste de végétation entre l’est et l’ouest du cratère, est toujours aussi saisissant, mais nous devons nous faire une fausse idée. C’est surtout que le 4 novembre, le soleil était haut, et à contre-jour alors qu’aujourd’hui, le soleil est plus bas. Christophe retrouve les rhinocéros au 400 mm. Ils sont toujours à peu près au même endroit (et toujours aussi loin).

Nous ne tardons pas ensuite à rejoindre la porte d’entrée du Ngorongoro, envahie par les babouins. Christophe, se rapprochant de ces singes pour les photographier au téléobjectif, fait alors peur à Khalid car les primates sont dangereux. Pendant que Khalid s’occupe des formalités, Anne-Marie passe acheter un Coca-Cola et un Sprite (Khalid ne veut jamais rien) que nous allons pouvoir boire paisiblement sur la route goudronnée, fini le massage tanzanien ! Nous sommes de retour à la civilisation, avec plein de monde dans les villages, sur des motos qui déboulent de partout, ou rassemblés en nombre dans des grands espaces extérieurs pour la messe dominicale ! Nous ne nous arrêtons pas au marché touristique où nous nous étions arrêtés dimanche dernier : les peintures sont belles mais trop grandes, et les sculptures sont intéressantes mais trop lourdes. Nous pourrons nous lâcher à Zanzibar, mais pas avant le vol pour cette île.

En nous déposant au "Kirurumu Manyara Lodge", Khalid qui ne veut toujours pas venir boire un coup avec nous (sachant que la réputation de pingre des Français n’est pas usurpée à l’étranger, Christophe plaisante en disant que cela ne comptera pas dans son pourboire, mais rien n'y fait), tient à nous alerter sur les dangers potentiels des environs. Certes, nous ne risquons plus de croiser un lion ou un dik-dik en sortant de notre tente après la tombée de la nuit, il n’y a donc plus de gardien pour nous escorter, mais nous devrons néanmoins prendre une lampe pour sortir et bien vérifier qu’il ne traîne pas de cobra cracheur ou de mamba noir (une espèce de serpent arboricole) sur les sentiers. Un peu avant 6 heures du soir, nous quittons la tente d’où l’on jouit d’une superbe vue sur la vallée du rift et le lac Manyara, avec des lampes, pour rejoindre le bar où il n’y a pas de serveur. Heureusement, au restaurant, nous trouvons une serveuse qui revient avec nous au bar pour nous servir deux Coca-Cola (pas d’alcool aujourd’hui, après les excès de la veille).

Après avoir profité du réseau wifi pour surfer un peu sur internet, nous rejoignons le restaurant. Le soir, c’est un buffet, plutôt bon comme les lasagnes végétariennes que goûte Christophe. Lorsque nous repassons au buffet, prendre du dessert (dont de l’ananas et des bananes, très bonnes), le cuisinier est en train de préparer une sorte de poulet thaï qui sent très bon, dommage que nous ayons fini. Arrive alors un groupe de chanteurs (certainement, des habitants du village) pour pousser la chansonnette. Cela faisait longtemps que nous n’avions plus entendu "Jambo, Jambo bwana ... asante sana ... akunana matata" mais heureusement, leur répertoire ne se limite pas à cette seule chanson. Après leur récital, nous laissons alors un billet de 10,000 TZS dans la petite corbeille qu’ils ont déposée devant eux. Nous rentrons ensuite à notre tente. Anne-Marie regarde bien sur le sol devant elle, pendant que Christophe scrute les branches au-dessus de nous.

variable

Météo de la journée :
Nuageux le matin, un peu moins vers 14 heures mais un orage éclate en soirée sur la vallée du rift. Nous avons aussi pris la pluie au Ngorongoro : Khalid a mis en route les essuies-glaces qui ont fait seulement trois tours avant d’être arrêtés.

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"Serengeti (14 / 14)"
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