-- Retour acceuil --
-- Retour carte --
-- Calendrier, jeu, etc... --
-- Nous contacter --
-- Nous suivre sur Facebook --
-- Photos de Plongées --
-- Photos de Week-ends --
-- fourre-tout de Voyage --
TANZANIE du 2 au 17 novembre 2019
Voyage du 2 au 17 novembre 2019
-- Retour sommaire --
Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mercredi 13 novembre : (suite)

Après avoir regardé sur le plan de la ville où se situent les points d’intérêts de "Stone Town", nous partons, à pied, sans guide, vers le fort devant lequel se trouve un grand jardin en bord de mer. Nous continuons ensuite à suivre le bord de mer, jusqu’à l’ancien dispensaire. Nous tombons alors sur un grand attroupement : à priori, la présence d’une star tanzanienne est la raison de ce rassemblement de fans. Nous quittons ensuite le bord de mer pour nous lancer dans les ruelles étroites de "Stone Town", en essayant de plus ou moins garder le cap vers le marché du Darajani. Le hasard nous fait alors tomber sur le tournage d’un film (ou clip vidéo) devant un hôtel typique de la ville, avec d’énormes steadicams et des acteurs qui manœuvrent des grosses motos tout-terrain... Ça a l’air d’être sérieux !

Le hasard (même si une personne nous a aidé au final, nous proposant ensuite de nous vendre des magnets) nous mène ensuite au marché. Nous évitons de nous attarder dans les parties poissonnerie et boucherie (dont les spécialités sont les crevettes à la mouche, le poulet à la mouche ou le morceau de viande à la mouche), pour passer plus de temps sur les étals de fruits et légumes, situés sur le boulevard devant le marché, bien plus photogéniques. Hormis les mouches, il y a cependant peu de risque de croiser des rats ou autres rongeurs dans ce marché car les chats (parfois dans un état de santé pitoyable) sont bien nombreux dans les parages, ainsi que dans les ruelles de "Stone Town". Nous ne nous attardons pas non plus devant les étals d’épices où tous les sachets, à la qualité inconnue, sont à 1 $US, car la pression commerciale est un peu prenante (il faut dire que nous sortons de 10 jours où nous n’avons croisé qu’une vingtaine à une trentaine de personnes par jour, et là, nous sommes au centre d’une zone où il y a presque 10 personnes au mètre-carré, ça fait un choc, surtout pour Christophe, même si les vendeurs ne sont tout de même pas trop insistants). Une personne recommande à Christophe de bien fermer ses poches (vides) car il doit certainement y avoir des pickpockets dans les parages (mais ça ne doit pas craindre tant que ça car certains touristes s’y promènent avec des boîtiers photo professionnels bien plus onéreux que les nôtres).

Nous rejoignons ensuite l’ancien marché aux esclaves sur lequel a été construite une cathédrale anglicane. Une personne nous aborde alors. Nous croyons que celle-ci veut nous vendre quelque chose, mais c’est juste un guide qui nous explique qu’il faut passer au contrôle de sécurité avant d’entrer sur le site, et que nous pouvons ensuite acheter des billets d’entrée pour une visite avec ou sans guide. Nous optons pour la visite sans guide (11.500 TZS par visiteur, quand-même), qui se révèle sans grand intérêt car elle se limite à de grands panneaux explicatifs sur la traite des esclaves, où nous notons tout de même que les français de l’"Isle de France" (devenue l’île Maurice) sont venus acheter des esclaves à Zanzibar (au fait, ces panneaux ne présentent pas grand intérêt, pour nous, car nous connaissons bien le sujet après nos visites des DOM et de la Louisiane où l’abomination qu’a été l’esclavage, a longtemps sévi). Quant à la cathédrale, elle n’est pas spécialement jolie, à l’exception de ses portes en bois sculptées, typiques de Zanzibar.

Nous partons ensuite complétement au hasard dans les ruelles étroites de "Stone Town", parfois bousculés par les passages de deux-roues (les conducteurs de ces engins estiment avoir la priorité sur les piétons et ils ont la gâchette facile sur le klaxon), mais les gamins que nous croisons nous disent facilement et gentiment bonjour. Christophe commence alors une collection de photos de portes sculptées, souvent magnifiques, malgré leur état de conservation pas toujours optimal (un peu comme à l’image des bâtiments de la ville : le gouvernement de Zanzibar va devoir taxer sérieusement les touristes pour restaurer ce patrimoine). Comme nous avons tout de même suivi une direction ouest, nous nous retrouvons assez facilement notre hôtel mais nous repartons aussitôt vers le parc situé devant le fort, où se mettait en place un marché touristique et alimentaire. Les porteurs de bagages de l’hôtel nous avaient conseillés de n’y manger que des aliments bien cuits car les restes de la veille, mal conservés, étaient parfois resservis le lendemain. Mais n’ayant pas envie de finir le séjour sur une lunette de WC, nous évitons donc d’y manger. En revanche, Anne-Marie s’y achète un paréo. Nous essayons ensuite de nous rapprocher de la plage pour prendre des photos du coucher du soleil. Un homme nous aborde alors, gentiment. Il nous raconte qu'il connaît deux chansons en français, "alouette gentille alouette" et "il était un petit navire", qu’il entame aussitôt. C’est bien mais il y avait aussi un sous-entendu quand il nous propose de le prendre en photo (ce que nous refusons gentiment) : un petit billet !

Page n° 40 sur 47 :

"Zanzibar (3 / 8)"
-- Page précédente --
-- Page suivante --
© 2025 AMVDD.FR
ATTENTION :Site testé avec Firefox, Safari et Google Chrome sur Mac OS X, iOS, Android et Windows. L'affichage du site est loin d'être optimum sur smartphone (Apple !) mais c'est comme ça et puis c’est tout (puis, sur tablette, il n'y a pas de souci) ! Le Javascript doit être autorisé et dans un ancien navigateur, vous devrez peut-être installer un plug-in, comme par exemple Quicktime, pour visionner les vidéos encodées en mpeg-4.