Vendredi 15 novembre : (suite)
Au début, Anne-Marie avait la "Go Pro" mais elle n’arrivait pas à bien nager et cadrer en même temps (sans oublier qu’un petit poisson pilote s’était placé juste devant l’objectif de la petite caméra). Christophe la prend donc pour les mises à l’eau suivantes (dans le feu de l’action, nous n’avons pas compté de mises à l'eau, ni même vérifié le mode de prise de vue de la caméra qui est passé un temps en "time lapse", dommage... D'ailleurs, monsieur "Go Pro", si tu nous lis, un menu de sélection des modes de prise de vue autorisés serait le bienvenu).
Les 11 dauphins, dont un bébé, se laissent relativement facilement approcher (mais il y a une limite à ne pas dépasser) et lors d’une séquence, nous arrivons même à les suivre pendant plus d'une minute. L’excursion est donc plutôt réussie, nous n’en espérions pas tant (et en plus, nous avons fait notre séance hebdomadaire d’entraînement à la plongée : des fractionnés avec des coachs professionnels de la nage).
Après une petite heure de "mises à l’eau – remontées", le capitaine nous dit que c’est la dernière, mais il accepte cependant de continuer de suivre un peu les dauphins pour faire quelques photos en surface. Nous avons ensuite une vingtaine de minutes de navigation pour rentrer au village (finalement, nous étions allés assez loin pendant que nous suivions les dauphins) avant de retrouver notre taxi pour revenir à l’hôtel vers 8 heures et demie du matin.
Après une douche, nous allons prendre le petit-déjeuner et nous dégustons alors une crêpe fourrée d’une banane revenue à la poêle (un peu comme une banane flambée, revenue dans un caramel, mais non flambée). C’est délicieux !
Le programme du reste la journée est alors très simple : sieste, dans les grands fauteuils à l’ombre, près de la piscine, et bains dans la piscine (à l’eau de mer). L’eau de la piscine était un peu fraîche le matin mais elle est bien chaude l’après-midi. A 13 heures, nous mangeons au restaurant de l’hôtel (ce qui nous permet de boire un verre de notre bouteille de vin) et le soir, nous passons au bar boire une "piña colada". Malheureusement, ce n’est pas le barman d’hier et ce soir, la barmen passe de l’ananas frais au mixer en y ajoutant de l’eau et en filtrant ensuite le mélange obtenu. Le cocktail est bien moins onctueux que celui d’hier (et moins bon). Comme un serveur était venu prendre notre commande pour le dîner au bord de la piscine, le repas est donc déjà prêt quand nous arrivons au restaurant. En entrée, chapati roulé, suivi d’un curry de poulet pour Christophe et raviolis au poisson en entrée, suivi d'un morceau de thon grillé, servi avec du riz, pour Anne-Marie. C’est plutôt bon, même si les morceaux de poulet sont un peu durs et secs. En dessert, nous avons tous les deux pris du sorbet mangue banane.
Météo de la journée :
Même s’il a bien plu durant la nuit et que nous avons pris une dernière averse en nous rendant à l’excursion dauphin, la météo a été belle et ensoleillée (avec coups de soleil à la piscine, même si nous avons fait très attention), malgré la présence de quelques nuages.
Samedi 16 novembre : "Kwaheri Tanzania !"
Après le petit-déjeuner à 8 heures et demie (nous avons bien évidemment repris des crêpes fourrées à la banane), nous refaisons nos valises jusqu’à 10 heures du matin, avant d’aller établir nos quartiers sur les fauteuils à l’ombre, près de la piscine. A 11 heures du matin, nous abandonnons juste quelques instants ces fauteuils pour amener nos sacs à la réception de l’hôtel et ainsi libérer la chambre.
A 13 heures, nous déjeunons à nouveau au restaurant de l’hôtel (jus de fruits frais, à 7.000 TZS, spaghettis au crabe pour Anne-Marie et petit tartare de thon pour Christophe), ce qui permet à Anne-Marie de repasser par la réception pour vérifier l’heure du taxi qui est prévue à 16 heures au lieu de 16h30 comme elle le croyait.
A 15 heures, nous abandonnons donc finalement nos fauteuils au bord de la piscine, pour aller prendre une douche dans le local prévu à cet effet et nous rhabiller chaudement pour le voyage retour.