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RODRIGUES & MAURICE du 13 au 30 octobre 2023
Voyage du 13 au 30 octobre 2023
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Jeudi 26 octobre : (suite)

Nous apprenons alors que nous ne sommes que deux inscrits et qu'il nous faut bien évidemment revenir un peu avant 10 heures et demie. Nous attendons donc, d'abord sur un muret de l’embarcadère, avant de revenir attendre dans le bungalow de la "Mauritian Wildlife Foundation". Arrive alors une famille, plutôt nombreuse... Et non, ça ne sera plus une visite VIP ! Après la traversée pour rejoindre l'île aux Aigrettes, la guide nous fait un petit briefing sous un carbet avant de commencer réellement la visite. Celle-ci débute par une cage avec trois tortues, puis une autre cage avec trois pauvres roussettes (elles étaient en liberté au jardin de Pamplemousses). Euh, bof... Nous passons ensuite devant d’autres tortues d’Aldabra avant d’arriver à la pépinière où un pigeon rose, un des seuls oiseaux endémiques, en voie d’extinction, que l’on peut voir aujourd’hui sur l’île, nous fait la joie d’agrémenter cette visite un peu inintéressante. La visite de la pépinière ne nous intéresse guère (des plans avec des feuilles) mais la guide nous signale que des foudis de Maurice volent devant la pépinière, ouf !

La visite continue ensuite le long d’un sentier traversant un bois où poussent, entre autres, du bois d’ébène et des orchidées blanches. Quelques statues en bronze des espèces endémiques aujourd’hui disparues jalonnent le sentier, chouette alors Vexé !... La visite se termine, presque évidemment, par la case "boutique - musée" où Anne-Marie se trouve néanmoins un T-shirt souvenir qui ne servira pas qu’à enrichir l’importateur de produits chinois car il permet aussi de financer la "Mauritian Wildlife Foundation". Devant la "boutique - musée" se trouvait "Big Daddy", une tortue d’Aldabra et mâle dominant de l’île. La guide nous avait mis en garde de ne pas nous en approcher car cette tortue mord, mais après la visite rapide du musée, nous allons tout de même prendre quelques photos de "Big Daddy" qui s’est déjà bien éloigné. Nous retournons ensuite à l’embarcadère reprendre le bateau pour retourner (rapidement car le bateau est tout de même propulsé par un moteur de 150 cv) sur l’île principale. Nous découvrons alors que les clients des excursions en "speed boats" se baignent près des rochers bordant l’île aux Aigrettes, mais sans mettre un pied sur la terre car l’île est une réserve naturelle que l’on ne visite qu’avec un guide de la "Mauritian Wildlife Foundation".

De retour à l'embarcadère de la Pointe Jérôme, nous reprenons la voiture pour rejoindre le centre de Mahébourg, espérant y trouver une plage publique et surtout un camion snack. Malheureusement, point de plage publique au centre de Mahébourg, juste un front de mer joliment aménagé, et aucun camion snack dans les environs. Heureusement, nous y trouvons un restaurant, "Les Copains d’Abord", que nous allons donc tester. La carte semble traditionnelle mais quand les plats arrivent, nous découvrons une certaine recherche gastronomique dans leur présentation : un tout petit peu purée de giraumont avec quelques légumes posés dessus, un morceau de dorade, pas très gros, et un peu de sauce au lait de coco. Heureusement, les deux assiettes sont tout de même accompagnées d’un verre de frites saupoudrées de thym et c’est très bon mais c'est un peu léger tout de même et un peu cher (mais sans exagérer) pour l’île Maurice (2.155 Rs les deux plats avec deux jus d’ananas frais et une bouteille d’eau).

Après le repas, nous partons vers le sud de l’île, pour nous rendre à la cascade Rochester. Nous avons alors quelques difficultés pour la trouver car "Google Maps" nous a encore fait des siennes en voulant emprunter des routes privées. Nous avons donc évité de suivre les consignes de cette application quand elle voulait nous faire passer par des routes très étroites pour rejoindre la cascade. Heureusement, après être passé en quelques minutes de Souillac au Suriname, euh, pardon à Surinam, nous trouvons enfin une route acceptable pour rejoindre les abords de la cascade. Nous nous garons cependant au début du (large) chemin de terre qui mène à la cascade. Il ne nous reste alors plus que 400 mètres à marcher pour rejoindre le haut de la cascade. Cependant, pour descendre au pied de la cascade, le sentier qui part du plus près de la cascade semble casse-gueule. Un homme qui vend des noix de coco fraîches nous signale alors qu’un autre sentier, plus praticable bien que très boueux, débute un peu plus loin. Le temps est tout gris, il n’y a pas trop de lumière, mais la cascade est tout de même très belle, encadrée par des orgues basaltiques. Puis, les faibles conditions de lumière nous permettent de tenter des photos en pause longue (sans trop descendre en vitesse car nous n’avons pas de trépied).

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"Maurice (14 / 21)"
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