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NOUVELLE-ZELANDE du 23 février au 19 mars 2025
Voyage du 23 février au 19 mars 2025
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Mardi 18 mars : (suite & fin)

Vers 22 heures, nous rejoignons notre salle d’embarquement. Celle-ci est encore fermée (les agents sont juste en train de se mettre en place au niveau des scanners du contrôle de sécurité) mais une file d’attente s’est déjà formée devant la porte d’accès à cette salle. Nous la rejoignons donc. Le contrôle de sécurité se passe ensuite sans encombre (il n’y a pas besoin de sortir les appareils photos des bagages) et nous allons alors nous asseoir près de la porte d’embarquement, sans que personne ne scanne nos cartes d’embarquement. Comment font-ils pour savoir si tout le monde a bien embarqué dans l’avion ? Mystère !

eclaircie

Météo de la journée :
grand ciel bleu avec quelques nuages à Auckland...

Mercredi 19 mars : Munich express !

Nous décollons à minuit passé de deux minutes (au lieu de 23h45) et bien évidemment, l’écran de Christophe se bloque, comme à l’aller sur le Boeing 747 (mais il s’agissait d’un Airbus A350 qui aurait pu avoir l’avantage de posséder un système multimédia plus robuste)... Et le steward n’a rien fait ou n’a rien pu y faire. De toute façon, il nous faudrait essayer de dormir pendant les 12 heures de demie de vol qui nous attendent. Le service à bord est un peu plus dynamique que celui d'"Air New Zealand" (âge moyen du personnel oblige), cependant les repas sont moins bons. Ils ne sont pas mauvais, mais sans plus. Au dîner, nous avons le droit une salade de pommes de terre en entrée, suivi d’une sorte de goulasch accompagnée de polenta très fine (Christophe avait pensé qu’il s’agissait de purée de pommes de terre) et de petits légumes, avec un crumble d’abricot en dessert. Au petit-déjeuner, c’est quand même vraiment pas terrible : des légumes cuits à la vapeur avec des œufs brouillés, un morceau de pain tout sec et un yaourt.

Nous atterrissons à Munich à 5h37, avec presque 20 minutes d’avance sur l’horaire prévu, ce qui est de bon augure car nous n’avions qu’une heure d’escale. L’avion se stationne devant la porte L26 du terminal n° 2 et pour rejoindre la porte G09 (après un passage par la passerelle à la sortie de l'avion assez surprenant, mais pas pour la même raison qu’à Singapour car à Munich, la température extérieure est de - 5 °C), il nous faut prendre la liaison ferroviaire en sous-sol et remonter de là par un immense escalier car l’escalator est en panne. Heureusement, nous arrivons à faire le trajet entre les portes largement dans les temps.

Ironie du sort, à la porte G09, nous n’embarquons pas directement dans un avion mais nous montons dans un bus qui nous amène jusqu’à notre nouvel avion qui est stationné juste derrière l’Airbus A350 avec lequel nous sommes arrivés de Singapour.

Nous décollons de Munich avec 20 minutes de retard car il a fallu passer l’Airbus A319 au dégivrage. Après 1 heure et demie de vol, nous atterrissons enfin à Toulouse, bien fatigués, avec deux minutes d’avance, à 8h38. Après le débarquement, nous rejoignons bien évidemment le tapis de livraison des bagages. Christophe est rassuré car les AirTags placés dans nos bagages sont localisés à Toulouse. Mais à la fin de la livraison, il nous manque toujours un sac, celui qui avait reçu un auto-collant "heavy - 24 kg" à Auckland. Nous passons alors vérifier au tapis de livraison des bagages encombrants mais notre sac est localisé bien plus loin que ce tapis. Nous passons donc au guichet de réclamation des bagages perdus (qui n’est heureusement pas celui d’Air France - KLM). Nous montrons la localisation de notre sac à l’employé du guichet qui essaie alors de partir à sa recherche, sans succès. Dommage ne pas avoir pu partager la position de cet AirTag avec l'employé (une idée pour les compagnies aériennes : pouvoir utiliser les positions des AirTags ou SmartTags de leurs clients pour retrouver les bagages perdus, surtout quand ils sont perdus dans l’aérogare de destination). Le bagage nous sera livré en soirée.

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"L'île du Nord (14 / 14)"
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