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NOUVELLE-ZELANDE du 23 février au 19 mars 2025
Voyage du 23 février au 19 mars 2025
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Lundi 24 février : (suite & fin)

L’Airbus A350 de "Singapore Airlines", quasiment neuf, est aussi bien plus confortable que le Boeing 747 de Lufthansa, avec plus de place pour les genoux et un système de divertissement en état de fonctionner ! De plus, les hôtesses (bien jolies dans leurs tenues traditionnelles) et stewards aident les passagers à ranger leurs affaires dans les coffres à bagages. L’embarquement s’effectue donc rapidement mais nous décollons tout de même avec une vingtaine de minutes de retard (à 20h10 au lieu de 19h50 ; retard qui n’a rien de catastrophique pour un vol de presque 10 heures).

Le repas à bord est plutôt bon et l’équipage est aux petits soins pour les passagers (par exemple, ils sont passés toute la nuit pour distribuer des verres d’eau ou de jus de fruits et même des fruits comme des bananes). Le service à bord est vraiment un cran au-dessus de ce que nous avons l’habitude de rencontrer. En revanche, nous n’avons pas sommeil (c’est encore l’après-midi pour nous) et nous passons une grande partie du vol à visionner des films. Christophe peut enfin regarder "Juré n° 2" de Clint Eastwood pendant qu’Anne-Marie se plonge déjà dans la culture polynésienne avec "Vaiana 2" (en Nouvelle-Zélande, nous avons vraiment vu un bijou pour adulte en forme d’hameçon de Maui). Le film Conclave d’Edward Berger semble bien refléter les méandres politiques du Vatican (film dont la fin est surprenante mais très intéressante).

Mardi 25 février : Les doigts dans le nez !

Après avoir survolé l’Australie pendant un long moment (c’est là qu’on s’aperçoit que l’Australie est un très grand pays, presque aussi grand que les USA, et qu’il faut bien plus de 3 semaines de congés pour le découvrir), puis la Mer de Tasman, nous atterrissons enfin à Christchurch à 10h43, c’est-à-dire juste 3 minutes après l’heure prévue. Le débarquement s’effectue rapidement et à peine sommes-nous sortis de l’avion que nous arrivons devant un guichet de "One NZ" et un ATM, situés juste avant les magasins "Duty Free". Comme des passagers sont déjà en train d’acheter un forfait téléphonique local, nous en profitons pour retirer 800 $NZ à l’ATM (qui ne voulait pas qu’on retire plus) et nous découvrons alors que la banque néo-zélandaise facture 3 $NZ de frais pour ce retrait (en sus de la potentielle commission que notre banque va appliquer sur cette transaction).

Comme l’attente au guichet de "One NZ" s’éternise, nous interrompons quelques instants l’une des employées pour lui demander si une autre boutique est disponible dans l’aérogare. Elle nous répond dans l’affirmatif mais elle nous indique que ça sera plus cher (en zone "Duty Free", on ne paie pas les taxes, soit 9 $NZ de gagnés sur un forfait à 69 $NZ avec les taxes).

Nous passons ensuite rapidement le contrôle aux frontières automatisé (les autorités néo-zélandaises avaient déjà toutes les infos sur nous quand nous avons rempli le NZeTA) et nous arrivons alors dans une file d’attente pour passer le contrôle douanier et de la biosécurité qui a la réputation d’être implacable (contrôle curieusement situé avant d’accéder aux tapis de livraison des bagages). Une fois notre tour arrivé, l’agent nous demande comment nous avons rempli le NZTD ? Nous nous demandons alors s’il a retrouvé les informations que nous avons renseignées sur internet car il nous questionne sur notre matériel de randonnée. Cependant, convaincu par nos réponses, il ne tarde pas à nous remettre deux cartes vertes qui signifient que nous pouvons entrer sur le territoire néo-zélandais sans contrôle (plus ou moins) poussé de nos bagages.

Nous récupérons ensuite nos deux sacs sur le tapis de livraison et nous nous dirigeons, cartes vertes en main, vers la sortie désignée, la n° 4. Un maître-chien arrive alors à notre rencontre avec son chien dressé spécialement pour repérer les odeurs d’aliments et autres denrées périssables, mais celui-ci ne renifle rien de particulier (et pour cause, nous avons fait très attention en préparant nos bagages, nous n’avons même pas osé glisser une petite boîte de bonbons Ricola dans nos affaires). Néanmoins, quelques mètres plus loin, un second chien renifleur nous montre la preuve qu’il est un descendant de Rantanplan car il flaire une odeur suspecte dans le sac d’ordinateur d’Anne-Marie, petit sac à dos que nous venions d’acheter deux jours auparavant. Un agent fouille alors ce sac et nous demande si nous avons déjà transporté de la viande dans celui-ci, ce qui n’est nullement le cas. Heureusement, ce dernier contrôle ne prend qu’une minute et nous ne tardons pas à sortir quelques instants plus tard sur le parvis de l’aérogare.

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"L'île du Sud (3 / 26)"
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