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NOUVELLE-ZELANDE du 23 février au 19 mars 2025
Voyage du 23 février au 19 mars 2025
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

Pour nous, la découverte du pays en van aménagé (ou campervan en V.O. néo-zélandaise) nous semblait la seule solution envisageable. Cet engin permet de changer / moduler son programme en fonction des conditions météorologiques qui peuvent être très variables dans la région alors que l'utilisation d'une voiture imposerait de réserver les hébergements très à l'avance (même si au final, il nous a fallu tout de même réserver les campings deux ou trois jours à l'avance car même si les Néo-Zélandais étaient retournés au travail après leur grandes vacances d'été, il restait encore beaucoup de touristes venus du monde entier ; cela dit, pour les autres hébergements, il aurait fallu réserver bien plus longtemps à l'avance car beaucoup de ces hébergements affichaient "no vacancy" lors de notre périple).

Mi-septembre 2024, Anne-Marie a demandé un devis pour un séjour de trois semaines en van auprès de deux agences de voyage, l'une française et l'autre néo-zélandaise (via Kiwipal). La réponse de l'agence néo-zélandaise a été rapide (bien que succincte) mais nous n'avons reçu la réponse de l'agence française que tout début octobre. Le devis français était bien plus cher car il incluait la location d'un plus gros van dont la taille aurait pu être pénalisante en ville, et le programme proposé comportait de nombreuses anomalies (comme par exemple, deux nuits à Queenstown pour profiter d'une journée de shopping ou deux nuits à "Abel Tasman" pour faire une randonnée itinérante, sans accès au van, de trois jours ; c'était d'ailleurs surprenant que ce devis soit aussi détaillé pour un séjour en van qui permet justement de ne pas suivre à la lettre un programme préétabli).

Cela dit, nous nous sommes tout de même inspirés de quelques points du devis français : les vols passant par Singapour (évitant donc les USA et leur satané ESTA) et le fait de commencer le séjour par l'île du sud. Ainsi, au fur et à mesure du déroulé de notre séjour, nous remonterions vers le nord, profitant de températures plus clémentes alors que l'été se finirait dans le sud. Plus, cela permettrait aussi à Christophe d'accumuler de l'expérience dans la conduite à gauche d'un van avant d'aborder Auckland, la plus grande ville du pays (bien plus importante que Christchurch ou Wellington pourtant capitale du pays) et enfin, louer un van à Christchurch et le rendre à Auckland coûte moins cher que l’inverse...

Anne-Marie a donc (temporairement) retenu le devis néo-zélandais qui ne comportait cependant pas les vols qu'elle devait réserver par elle-même, ce qu'elle a fait le 7 octobre sur le site de Lufthansa. Après avoir reçu nos horaires de vol, l'agence néo-zélandaise nous a alors demandé un acompte assez important, très à l'avance, ce qui a fait tiquer Anne-Marie.

A titre informatif, en réservant un voyage en 2019 dans une agence située en dehors de l'union européenne, nous avons failli perdre l'argent du voyage quand le Covid est survenu car les conditions d'annulation et de remboursement de cette agence (suisse) était quasi-inexistante ! Ne sachant pas quelles étaient les pratiques néo-zélandaises dans ce genre de situation, Anne-Marie a donc réservé le van le 14 octobre, directement auprès du loueur qui ne demandait qu'un faible acompte (et il ne fallait payer le solde de la location que le premier jour de location, lors de la remise du van). Puis, dans la foulée, elle a réservé les hôtels à Christchurch et Auckland (ceux de la première nuit car nous n'allions tout de même pas prendre le volant du van aussitôt débarqué de l'avion, après plus de 30 heures de voyage et 12 heures de décalage horaire, et de la dernière nuit du séjour) par booking.com (avec annulation gratuite).

Anne-Marie a choisi le loueur proposé dans le devis de l'agence néo-zélandaise, un peu par défaut car le choix d'un loueur de campervans en Nouvelle-Zélande n'est pas simple. Les loueurs y sont nombreux et certains proposent des véhicules très âgés. Comme nous comptions découvrir les paysages de Nouvelle-Zélande et non pas les garages où il faudrait faire réparer le van (même si certains pourraient trouver que les échanges avec les mécaniciens néo-zélandais doivent être une expérience très enrichissante), nous avons préféré payer un peu plus cher la location, en espérant récupérer un véhicule capable de parcourir sans broncher les plus de 2.500 kilomètres du périple que nous comptions faire. Puis, bien que nous ne comptions dormir le plus souvent dans des campings pour profiter des sanitaires et des douches, nous avons tout de même choisi un van "self contained" pour nous permettre de passer, si nécessaire, quelques nuits sur des emplacements sommaires où cette certification est requise (comme par exemple, sur le parking au départ de la "Hooker Valley Track").

Le récit est en cours de rédaction ! Rendez-vous donc dans quelques semaines sur cette même page internet ;-).

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