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NOUVELLE-ZELANDE du 23 février au 19 mars 2025
Voyage du 23 février au 19 mars 2025
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Remarque importante : dans nos recits de voyages, nous indiquons des restaurants, des hébergements, des agences de voyage, des clubs de plongée, etc... Simplement, nous avons été satisfaits (ou pas) par les prestations offertes par ces établissements et nous voulons faire partager nos expériences. Ceci n'est pas de la publicité pour ces établissements, ce n'est que notre avis personnel !

pratique

Moyens de paiement :

Les cartes bancaires Visa et Mastercard sont acceptées partout (des magasins ou sites touristiques sont même cashless et n'acceptent donc pas les paiements en liquide) mais assez souvent, des frais d'un montant moyen de 2 ou 3 % sont ajoutés à la note quand on paye par carte bancaire (frais en sus de la potentielle commission que votre banque va appliquer sur vos transactions à l'étranger) !

Pour retirer des billets (afin de payer en liquide), les distributeurs automatiques (ATM en V.O.) vont aussi facturer des frais, par exemple 3 $NZ pour un retrait de 800 $NZ (on a eu jusqu'à 6,50 $NZ pour un retrait de 1.000 $NZ mais un ATM dans un supermarché réclamait 10 $NZ frais pour un retrait de 200 $NZ qui était la limite de retrait de cet ATM).

Dernier point à savoir : les ATM, bien que proposant des billets en dollars néo-zélandais, proposent de débiter votre compte bancaire en dollars néo-zélandais ou en euros (pour les cartes bancaires de la zone euro, bien évidemment). Dans le premier cas, c'est le taux de change $NZ / € de votre banque européenne qui sera utilisé, et dans le second cas, celui de la banque néo-zélandaise. Il paraîtrait que le second cas est défavorable mais lors du retrait, il est impossible de savoir quel taux de change sera appliqué par la banque néo-zélandais ou française. Par défaut, nous avons donc suivi la recommandation de la facturation en dollars néo-zélandais et nous ne pouvons donc pas affirmer ou contredire cette recommandation.

Téléphonie :

Il nous fallait pouvoir appeler au téléphone en Nouvelle-Zélande (en cas de problème avec le van) mais aussi disposer de données (pour réserver les campings, les restaurants, consulter les sites météorologiques, le site sur l'état des routes et utiliser "Google Maps" qui a justement l'avantage de réagir, certes pas instantanément, aux fermetures de route). Pour cela, deux solutions s'offraient alors à nous :

- un pack voyage de notre opérateur français, Orange, incluant 60 Go de données, 2 heures d'appel et 100 SMS pour 40 euros,

- ou une eSIM "One NZ" (opérateur néo-zélandais) incluant 40 Go de données, appels et SMS illimités en Nouvelle-Zélande pour 69 $NZ (ou 60 $NZ hors taxe en zone "Duty Free" de l'aéroport) !

Le pack de notre opérateur français nous semblait largement suffisant pour seulement 3 euros de plus que l'eSIM néo-zélandaise (et nous pouvions même l'utiliser à Singapour où nous serions en escale pendant plusieurs heures). Mais il nous semblait utile, voire nécessaire, d'avoir un numéro local (via l'eSIM "One NZ") s'il fallait que le loueur du van ou un autre intervenant nous appelle (et dans ce cas, appeler un numéro français lui aurait peut-être posé problème).

Nous aurions pu prendre la solution voyage que sur un seul de nos téléphones (et fonctionner en partage de connexion pour les données) mais nous avons préféré être autonome sur nos téléphones respectifs (parfois, ça peut être utile en cas de chute de vélo, par exemple, pour que la personne transportée à l'hôpital puisse tenir l'autre au courant de l'avancement des soins :-$). Anne-Marie a donc souscrit au pack voyage d'Orange et Christophe a fait installer sur son téléphone une eSIM "One NZ" à l'arrivée à Christchurch (au guichet situé dans l'aéroport, avant la zone "Duty Free", bien avant le contrôle aux frontières).

En conclusion : les forfaits étaient surdimensionnés car beaucoup de campings proposent la Wifi gratuite (même si certains demandent qu'on s'enregistre par le biais d'un compte Facebook pour accéder à la connexion internet et dans ce cas, nous avons préféré utiliser nos données mobiles). De plus, nous n'avons heureusement pas eu à utiliser les appels (car nous n'avons pas eu de problème avec le van et aucun de nous deux a fini à l'hôpital malgré un essai qui a manqué d'être transformé). Quant à la couverture GSM, elle était équivalente entre nos deux solutions, même si parfois, le téléphone d'Anne-Marie captait encore du réseau alors que celui de Christophe n'en avait plus. Il faut savoir que la couverture GMS ne couvre pas l'ensemble du territoire néo-zélandais, surtout dans l'île du Sud où certaines zones entre les villages, certes limitées, ne sont pas couvertes !

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