Athènes / l'Acropole : l'Erechthéion - les Caryatides

Jeudi 13 juillet :

De retour à Athènes, nous choisissons un des hôtels listés par le Guide du Routard, à coté de la place Omonia. Athènes, et en particulier les alentours de la place Omonia, est bruyante, très bruyante. La circulation est très dense et les klaxons sont largement utilisés par les Athéniens ! Dans l'après-midi, nous assistons à la relève de la garde place Syndagma : ça fait un peut carte postale mais c'est amusant et ça vaut le détour. Nous finissons la journée par une visite rapide du quartier de la Plaka.

Vendredi 14 juillet :

Il a fait très chaud la veille et toute la nuit, nous avons étouffé dans la chambre. De plus, Athènes vie toute la nuit, le bruit ne s'arrête pas de la nuit ! Nous nous levons de bonne heure pour arriver au plus tôt à l'Acropole. Quand nous quittons le site, nous voyons à quoi nous avons échappé : des centaines de visiteurs en train de suivre des guides brandissant divers signes de reconnaissance. Nous avons pu visiter le site et son petit musée à peu près sereinement !

Nous poursuivons la visite par l'Agora Grecque et le temple d'Héphaistos bien restauré. Et ensuite, nous nous lançons dans la visite de l'immense musée archéologique national : tous les vestiges de la Grèce Antique y sont (pensez à manger avant, la visite est très longue mais aussi très intéressante).

Après une petite sieste, nous retournons dans le quartier de la Plaka où nous y mangeons ... une moussaka ! Oui, ça fait très cliché mais elle n'était pas mauvaise, quand même. Vers 22 heures, nous sommes de retour à l'hôtel où il fait encore plus chaud dans la chambre. Christophe touche le radiateur et s'aperçoit que celui-ci est brûlant ! Nous descendons à la réception pour signaler cette absurdité. Le réceptionniste nous dit "yes, yes, of course..." sauf qu'une heure plus tard, le radiateur est toujours aussi chaud. Cette fois, nous revenons à la chambre avec le réceptionniste qui traine des pieds pour nous suivre. Mais une fois qu'il a touché le radiateur, il disparait très rapidement pour faire stopper le carnage. En fait, avec la canicule (il y a en plus de grands incendies de forêts autour d'Athènes, un grand nuage gris recouvre la ville et des cendres retombent en neige), ils ont voulu mettre en route la circulation d'eau dans les radiateurs pour tenter de rafraichir les chambres, sauf que l'employé a aussi mis la chaudière en route ! Comme il fait vraiment très chaud dans la chambre, on nous reloge dans une autre chambre où le radiateur est resté froid.

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